sorties proposées sur le secteur Lorient
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- Écrit par : Maryvonne PEREZ-BLONDY
Au pays du roi MORVAN
Mardi du 28 mai 2024,
Nous les randonneurs, à l’Abbaye de Langonnet.
Prendre son pied. Partir d’un bon pied ! Mettre un pied devant l’autre, et nous voilà partis sur le mode marche !
C’est ainsi que la marche du 28 mai, sous la conduite de Bernard Le Vilain et de Michel François s’est préparée sur une journée.
Pour cette journée 16 marcheurs et marcheuses surtout, décidés à vaincre les affres de la météo et découvrir le beau programme annoncé.
Le rendez-vous du matin, vers 10heures, dans ce splendide lieu de verdure de l’Abbaye Notre Dame de Langonnet, là où nous accueillait « un religieux » tout disposé à nous faire visiter ce site et ses merveilles.
Cette Abbaye, ancienne Abbaye cistercienne, installée en date de 1136, avec la congrégation des cisterciens jusqu’en 1790, voit une évolution à travers les époques.
Après réquisition par le décret du 10 juin 1806 par Napoléon 1er, devient le Haras de Langonnet entre 1807 et 1857.
Depuis 1856, et ce jusqu’à ce jour, elle relève de Congrégation du Saint-Esprit.
Les membres de La Congrégation des Spiritains ont parcouru le monde tout en évangélisant les habitants, à travers le monde, africain en particulier, pas toujours dans les meilleures conditions humaines ! Hélas !
C’est ainsi qu’un Musée d’Art Africain, et sa collection riche de pièces remarquables, élaborées par ceux revenus de leur long périple, relève du magique !
Nous étions tous étonnés de voir cette richesse, de figurines, de photos, de petits matériels qui servaient à détecter l’intelligence ou pas des populations diverses qui devaient se convertir religieusement.
Les marcheurs-visiteurs, tous nourris d’une manière intellectuelle, spirituelle même, il nous fallait aller aux nourritures plus terre à terre, aux environs de 13h00, là où nous étions attendus à 5 ou 6 km de là.
Parcourant le long des méandres des chemins et petites routes vertes, nous nous approchons d’un lieu-dit, signalé et indiqué : «Agapes et Alcôves». Kerauder.
C’est là même, qu’une adhérente récente, Marie-France G. et aussi Henri, nous attendent, dans un lieu typique restauré afin de recevoir les passants et autres, comme nous les marcheurs du mardi !
Dans la grange ancienne, la table dressée, le buffet préparé, il ne nous restait plus que déguster les crêpes dites « complètes » sentant bon le beurre, faites d’un tour de main par Marie-France. Ne parlons pas des confitures maison !
Le cidre coulait de source évidemment !!!
Alourdis de nos victuailles, avec la bonne humeur en plus, nous reprenons le chemin avec les 5 km à pied, pour la plupart de nous… sauf pour quelques-uns qui ont préféré le « taxi-maison » en retour vers l’Abbaye.
Une organisation remarquable, comme un critère de satisfaction à l’ANR56 !!!
Notre photographe en chef, Bernard, nous passe « au shooting » !!! et il ne manque pas de garder les plus belles photos de cette « petite expédition » d’environ 11km.
Mais, comme dit l’adage « une journée réussie se passe en bonne compagnie. »
Tel est le cas pour ce mardi 28 mai 2024. Sans doute comme tant d’autres mardis, par ailleurs !
Nous en reparlerons car la marche est un moment de convivialité et de partage, dans tous les domaines.
A bon entendant, et au futur proche !!!
Maryvonne.
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- Écrit par : FRANCOIS Michel
Marche bucolique à Guidel
Après une balade la semaine précédente dans la magnifique contrée de Cléguer où résident des êtres merveilleux et gentils.
Driiiiin , réveille-toi aujourd’hui nous sommes à Guidel. (La sonnerie du réveil est approximative)
Nous sommes accueillis sur le parking du point de départ, par une petite averse ; comme dirait Olivier « En Bretagne, il ne pleut que sur les bons » (je préfère cette version).
Effrayée par ces quelques gouttes d’eau, une personne a fait demi-tour, probablement de peur d’être une poule mouillée sur le parcours.
Nous nous sommes retrouvés à treize, Aie ! Fallait-il éloigner l’un d’entre nous, le parking étant désert, à part nous, nous ne pouvions pas recruter une personne supplémentaire pour éloigner la malédiction.
Tout compte fait, le groupe étant constitué de sprinters ( ???) et de personnes plus nonchalantes, le démon maléfique n’y verrait que du feu ( comme chez lui en enfer) et ne pourrait pas imaginer qu’il s’agit du même groupe.
Hormis quelques petites gouttes, le trajet fut très agréable, et nous a permis de découvrir de multiples facettes de la cité en cheminant en ville, dans les bois où perdurent les dégâts causés par la tempête Ciaran.
Merci à Danielle, notre guide, pour ce parcours plein de belles surprises qui nous a permis enfin de marcher après ces déluges d’eau qui nous maintenaient à la maison.
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- Écrit par : Super Utilisateur
Rando Saint-Fiacre - Janv. 2024
Après plusieurs annulations dues au vent et à la pluie, le mardi 30, nous avons enfin pu prendre les chemins de la rando de St Fiacre sur Guidel. Si l'âne était resté dans sa crèche, le petit Jésus fit venir un temps agréable pour satisfaire ses pèlerins décidés et contents de se retrouver après une si longue absence (première marche de l'année).
Si au cours du parcours, nous avons dû rebrousser chemin car la pluie des derniers jours avait rendu le chemin creux impraticable et donc opter pour un plan B, ce ne fut pas le cas vers la fin où nous avons dû affronter les dégâts de la tempête. Sur une longueur d'environ 300m, au bord du ruisseau tous les arbres étaient couchés, triste spectacle preuve que la nature est fragile et en péril.
Quant aux anciens jeunes ( les Tamalous) ils (elles)ont montré que l'arthrose n'est pas un handicap car les obstacles ont été franchis avec une certaine souplesse preuve que la marche est bonne pour la santé !!
Bernard
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- Écrit par : Michel
La dernière marche
27/06/2023
Petit effectif pour cette dernière randonnée de la saison. Peut être que certains avaient pressenti qu’il y aurait un peu de dénivelé et, que seuls les plus vaillants pouvaient s’y confronter. Néanmoins, le groupe s’est acheminé gaiement vers la rivière Saint Sauveur pour la longer .
Pour l’instant, tout va bien, belle descente et terrain plat. En fredonnant, « il suffit de passer le pont », nous traversons la rivière avant d’attaquer, une côte qui nécessite d’avoir les mollets bien galbés.
Ayant pris de la hauteur, il a bien fallu redescendre à travers les bois après avoir fouler le sol du village de Saint Guénaël.
Fichtre ! la belle descente du départ s’est transformée en vilaine montée, ce qui ne fit même pas trembler notre Vilain chef de file.
Au retour, photo près de la fontaine, sachant qu’une bolée de cidre les attendait à l’arrivée, d’un commun accord ils proclamèrent « fontaine, je ne boirai pas de ton eau !» .
De nouveau sur le terrain plat, direction les voitures, les mécréants passèrent à côté de la jolie chapelle de Saint-Etienne sans la visiter (il faut dire pour leur défense qu’elle était fermée).
Fin du périple, il est temps de déguster le far de la maitresse des lieux, Denise, née dans le village et qui souhaite y rester car elle nous a montré en fin de trajet, le magnifique chêne sur les rives du Saint Sauveur qui accueillera à son pied ses cendres. Les plus insolents ont été se recueillir près du chêne mausolée, peut-être ne sont-ils pas sûrs de pouvoir le faire le moment venu.
La dernière marche de la saison, nous a amené à un pallier de deux mois avant de nous retrouver pour partager des moments joyeux de trekkers avertis (3,09 km/h de moyenne).
Michel FRANCOIS
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- Écrit par : FRANCOIS Michel
A la recherche du père Noël
Pour cette dernière marche de l’année, Bernard s’est dit, c’est un mardi 13, cela devrait nous porter chance ( ???), donc allons à la rencontre du père Noël…
Un petit groupe de doux rêveurs (mais la vie ne serait-elle pas trop triste s’il n’y avait les rêves) s’est retrouvé sur le parking du relais du Bonhomme (de neige) à Lanester.
C’est sous l’œil goguenard des plus anciens, que les plus jeunes partirent à la recherche du brave monsieur qui est censé remplir leurs jolis souliers déposés au pied du sapin.
La température avoisinant le zéro, la fougue est vite retombée. Les naïfs se sont dit que le père Noël méritait bien le qualificatif qui lui est donné dans un film devenu culte.
Après cette quête infructueuse, pour se consoler le petit groupe s’est réfugié dans le bar pour consommer une boisson chaude et, pour les plus dépités, une boisson froide et diurétique qui facilite l'oubli lorsqu’elle est prise en grande quantité.
Rendez-vous fût pris pour une nouvelle recherche chimérique en janvier ou, tout simplement une marche qui permettrait d’observer sous le manteau (il fera toujours froid en janvier) l’auteur de ces lignes, afin d’évaluer sa santé mentale.
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- Écrit par : FRANCOIS Michel
Marche gastronomique
Le mardi 29 mars 2022, changement de tactique, pour stimuler les marcheurs, un seul objectif : un bon repas en commun.
A 10h00, le petit groupe s’est précipité avec lenteur vers une petite randonnée (décidément tout est petit dans ce récit) dans le magnifique secteur du pont du bonhomme à Lanester.
C’était un jour prédestiné à la marche car nous avons rencontré d’autres groupes et avons pu deviser avec l’un d’entre eux qui faisait un circuit pour découvrir les beautés de la Bretagne.
Euréka, après avoir déambulé dans la campagne, rencontré un placide troupeau de moutons, le restaurant du relais du pont du bonhomme est enfin apparu.
Le repas fut à la hauteur de nos espérances, ce ne fut pas une surprise de constater que certains (un terme générique qui n’exclut pas la gent féminine) étaient plus à l’aise avec une fourchette qu’avec un bâton de marche.
Ravi de cette expérience, il est décidé qu’elle serait reconduite, mais avec modération, pour préserver notre profil, non pas de marathonien, mais de chercheur de champignons.