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Rando mensuelle du 12 mai 2023
Sur les chemins de Guillevic à Carnac
Circuit quasi inédit au départ du musée des Mégalithes face au domaine du Menec, découverte d’un chemin fait de planchers au milieu de la forêt et des mégalithes.
L’opportunité de se recueillir musicalement dans un espace cosmique « réminiscent » où à cette période, il n’y a pas d’insectes mais des diffuseurs de sons extraterrestres, cela fait rêver.
Enfin nous ne pouvions pas faire escale au Manio menhir de six mètres, avec comme exercice les jets de cailloux pour atteindre la cime avec un vœux en échange. Retour vers le musée en intra-muros pour finir en beauté avec sous la cahute du petit train, une dégustation de gâteaux....
Simone notre guide du jour avait fait le sien, de quoi chatouiller nos papilles.
Peu de temps avant le retour un autre moment de méditation devant des maximes du poète Guillevic, gravées comme il se doit dans le granit. L’une d’entre elles :
« Que ce soit sobre de lignes, ton paysage dernier »
Vous avez deux heures dirait le prof de philo !
Francis Lopez
Rando mensuelle Locmaria - 1303
Lieu connu de la plupart des participants sur un parcours de Locmaria GrandChamp, déjà emprunté pensait-t-on.
Hé bien que nenni ! Les régionaux de l’étape Eliane et Gwenaël Philippe, avaient repéré un autre circuit le matin. Timing très serré, la chapelle Burgo n’était pas bien loin mais la restauration avait ses exigences.
Quelques parisiens avaient choisi la tête de veau, non pas le bourguignon, mais ces derniers l’emportaient avec le score 24 à 12.
Pour l’après-midi un circuit nostalgique autour de l’étang de Locqueltas.
Encore une belle journée, température agréable et derniers rayons de soleil avant que la semaine suivante, les giboulées ne nous rattrapent.
Trésors d'Occitanie
Festival des lanternes
récit du voyage
La chasse aux trésors d’Occitanie
Si le thème principal était une soirée féerique dîte « des lanternes" dont les tableaux de lumières nous faisaient rêver de voyages en chine, quelles surprises de découvrir encore cette belle région.
Le voyage du mardi s’était passé sans encombre, une escale en Vendée, les grandes villes sans bouchons et dès l’arrivée, un accueil fort sympathique à l’hôtel.
Premier jour
Une école militaire démocratique si cela peut étonner avec à la fois rigueur et libre pensée, telles étaient les valeurs prodiguées. La surprise de savoir qu'Hugues Auffray et Claude Nougaro l'avait fréquentée. Au sein même de l’enceinte un musée de tapisseries créé par Dom Robert en relation directe avec les lissiers d'Aubusson, depuis sa création.
Castres l’après-midi avec ses faux airs de Venise et ses rues médiévales, d
eux marchés de Noël et des illuminations ....
C'est la saison.
Deuxième jour : On a marché sur la une
Après avoir déambulé dans les rues de Toulouse, les quais de la Garonne, la place du capitole, l’après-midi était consacrée à la visite de la cité de l’espace, avec deux films en trois D, une incursion dans un vaisseau, une réplique d’Ariane, un voyage virtuel dans un autre univers.
Ah, j’oubliais : une saucisse purée à la brasserie des arts le midi, il fallait y faire référence.
Trois jours déjà : Les vignes du Seigneur
Double peine pour la compagnie, la dégustation aux chais de La Bastide, en ville de Gaillac.
Heureusement la soute du car avait laissé place aux cartons, ici encore c'est la saison.
Un repas sur le site et en route vers Montauban, dont les splendeurs demandent à être mieux connues.
Belle mise en bouche avant la soirée féerique (bis) dans un parc très fermé, des dragons, des pagodes, des dinosaures, un festival des lumières, festival éphémère conçu par les artistes de Chi Chuan (partenaires de Montauban, jadis Gaillac). Toutes les œuvres, dont la plupart construites en assiettes, sont remises à des associations caritatives.
Dernier jour en douceur : Entre jeux et merveilles
Le matin un musée du jouet à Mazamet, nos grands enfants se défoulent au jeu de massacres, au Canasta, font tourner les toupies ; l'âme de l'enfance ne s'oublie jamais.
L’après-midi à Albi autre attraction du séjour, allait clore ce séjour, la cathédrale de tuile rouge aussi imposante à l'extérieur que somptueuse à l'intérieur, subjuguait les compagnons du séjour. Sainte Cécile aurait veillé sur eux.
Surprise à l’hôtel, dîner Chanté, un excellent musicien nous aura remémoré les refrains d’hier pendant que le téléviseur grand format nous laissait entrevoir sans le son, la qualification de l’équipe de France. Sans ambiguïté et en toute ubiquité, la soirée se termine en beauté.
Peu d’heures de sommeil, le retour se fera en douceur comme à l'aller, un repas à l’Ange Bleu le restaurant cabaret qui nous aura prêté ses ailes l’espace de 5 jours.
Où irons-nous bientôt pour donner à nos existences un peu de relief, ce dernier fut gothique, quelques idées trottent dans les têtes....
Francis Lopez
+ Un diaporama en prime avec ce lien :
2023 - 1er mardi : La Grange au rendez-vous !
Si pour marquer l'arrivée de la nouvelle année, il y a des lieux prestigieux comme le Moulin Rouge à Paris, nous gens de province de l'ANR, nous avons sur le secteur de Lorient à défaut d'un moulin, une grange bien connue, c'est celle de Quéven.
Ainsi, le mardi 2 janvier, les fidèles se sont retrouvés pour fêter dignement l'année 2023. Point de paillettes ni de cotillons mais le plaisir de se retrouver pour taper la belote, de jouer à la bleue ou pour les plus téméraires une partie de pétanque sous le bon crachin breton afin d'imiter les danseuses étoiles en faisant le grand écart.
Et pour clôturer la journée, notre Job régional avec l'aide de jacqueline pour le service, avait prévu une boisson chaude ou froide avec gâteaux et chocolats.
Bernard
A la recherche du père Noël
Pour cette dernière marche de l’année, Bernard s’est dit, c’est un mardi 13, cela devrait nous porter chance ( ???), donc allons à la rencontre du père Noël…
Un petit groupe de doux rêveurs (mais la vie ne serait-elle pas trop triste s’il n’y avait les rêves) s’est retrouvé sur le parking du relais du Bonhomme (de neige) à Lanester.
C’est sous l’œil goguenard des plus anciens, que les plus jeunes partirent à la recherche du brave monsieur qui est censé remplir leurs jolis souliers déposés au pied du sapin.
La température avoisinant le zéro, la fougue est vite retombée. Les naïfs se sont dit que le père Noël méritait bien le qualificatif qui lui est donné dans un film devenu culte.
Après cette quête infructueuse, pour se consoler le petit groupe s’est réfugié dans le bar pour consommer une boisson chaude et, pour les plus dépités, une boisson froide et diurétique qui facilite l'oubli lorsqu’elle est prise en grande quantité.
Rendez-vous fût pris pour une nouvelle recherche chimérique en janvier ou, tout simplement une marche qui permettrait d’observer sous le manteau (il fera toujours froid en janvier) l’auteur de ces lignes, afin d’évaluer sa santé mentale.