voyages - séjours en France
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- Écrit par : Claudine Fontana & Noémi Lorgeoux
Séjour Randonnée / Tourisme en Périgord – 2 au 8 septembre 2017
Samedi 02/09,
C'est le départ pour le séjour en Dordogne, dans le Périgord pourpre. Après un voyage ponctué d'arrêts gourmands dès le matin, au petit déjeuner puis au déjeuner, nous arrivons en fin de soirée au village de PEYRICHOUX. Chacun s'installe.
Dimanche 03/09,
Le prestigieux château de MONTBAZILLAC nous attend. Le monument historique du 16ème siècle présente une architecture originale, mélange de styles médiéval et renaissance. Nous découvrons les différentes pièces du château avec chacune leurs particularités. Les métiers traditionnels, le sabotier, le tonnelier, le charron et le cordelier sont représentés. Une pièce est totalement dédiée à la religion protestante qui s'est développée dans cette région au cœur des voies commerciales de l'époque. La salle à manger, meublée en baroque italien et la chambre à coucher nous font entrer dans l'univers de la comtesse de Montbazillac. Les vastes cuisines sont consacrées aujourd'hui à une exposition sur le vin. En fin de matinée, les randonneurs nous rejoignent pour une sympathique dégustation.
Après le déjeuner visite d'ISSIGEAC merveilleux village médiéval d'origine gallo-romaine, construit en cercle. Dans un lacis de ruelles et de venelles, seule la rue l'Oustal est rectiligne. Les maisons à pans de bois de la rue "Sauveterre" reflètent les différentes classes sociales. A proximité de la maison "champignon" nous découvrons la maison des têtes, l'église de la taille d'une cathédrale, et le château des évêques de SARLAT du 17ème siècle, face à la maison des dîmes.
En soirée le quiz musical permet la rencontre d'un groupe de Brestois venus découvrir la région.
Lundi 04/09,
Matinée consacrée à la visite de Monpazier : l'exemple type de la bastide en Dordogne.
La bastide provençale nous était connue ; nous allions à la découverte de la bastide périgourdine, emmenés par la responsable du Syndicat d'initiative, remarquable pédagogue, férue d'histoire, qui sut aisément nous transmettre sa passion, au fil de nos déambulations à travers carreiras (rues principales) et carreyrous (ruelles secondaires que nous appellerions "ruelles" aujourd'hui).
Les bastides sont nombreuses en ce Périgord pourpre que nous parcourions : bastide de Lalinde, de Vergt, de Beaumont, de Villefranche de Périgord, de Monpazier...éloignées l'une de l'autre d'une distance ne dépassant guère "une journée à cheval", condition première pour des échanges commerciaux réguliers et fructueux.
C'est bien là, la raison pour laquelle le roi de France favorisa la création de tant de bastides qui furent à l'origine des "villes nouvelles". Le but était l'enrichissement du Pays par le commerce, la suppression du servage tout en diminuant le pouvoir des duchés au profit du pouvoir royal au XIII ° siècle, période d'explosion de nombre de découvertes techniques, de la démographie et d'un meilleur niveau de vie.
La bastide de Monpazier que Viollet Le Duc qualifia de « bastide modèle » et qui put s'enorgueillir dernièrement du titre de "plus beau village de France" se situait sur les terres du Comte de Toulouse qui mena la révolte des Albigeois. Vaincu, il dut se plier au pouvoir royal qui, par le traité de Meaux, lui imposa la destruction des places fortes et la libération des serfs qui furent dotés d'une maison dans une ville nouvelle ou bastide : Ils s'installèrent donc comme artisans, commerçants, ouvriers dans ces nouveaux lieux de vie, jouissant de cette liberté offerte, s'acquittant cependant de quelques redevances. Ces bastides devaient alors restées ouvertes - ce n'est que plus tard qu'elles seront entourées de remparts lors de la guerre de 100 ans.
Les règles d'urbanisme et d'architecture étaient strictes et précises, plans et dimensions bien définis : la corde à 13 nœuds représentant la longueur d'une façade. Rues principales (carreiras) et secondaires (carreyrous) devaient former un quadrillage parfait et s'entrecouper à angles droits, autour d'une place centrale réservée au commerce, C'est sur cette place que se dressait la halle entourée de cornières, d'arcades qui protégeaient les comptoirs des commerçants.
La Dordogne dans son ensemble, Monpazier en particulier, a su protéger un patrimoine remarquable qui contribue aujourd'hui à l'attrait irrésistible et au développement touristique de cette région.
Après un généreux pique-nique, nous partageons une visite guidée du Château de BIRON, l'une des quatre baronnies du Périgord. L'histoire de cet édifice est liée à la grandeur d'une famille, les GONTAUT-BIRON, maîtres incontestés pendant près de mille ans du sud du Périgord. Chaque siècle a laissé son empreinte : donjon du 12ème, chapelle à double étage, appartements renaissance, impressionnantes cuisine voûtées et salle des états. C'est un ensemble architectural exceptionnel.
Après le dîner un karaoké anime la soirée.
Départ du groupe pour le village du Bournat. Nous découvrons l'art de vivre périgourdin et le quotidien des paysans en 1900 grâce à ses nombreuses activités : le moulin à l'huile de noix, le cordelier, le potier, le tourneur sur bois, etc.
Midi, il est l'heure de déguster un copieux repas typique. Ensuite nous partageons un moment euphorique sur les manèges de notre enfance, puis c'est la photo de groupe à l'école. Nous tentons de résoudre collectivement le problème inscrit au tableau. Malgré nos efforts conjugués nous n'avons point trouvé la solution ! Déjà 15h et nous partons pour le gouffre de PROUMESSAC, la plus grande cavité aménagée du Périgord. Par un tunnel nous accédons à cette immense voûte souterraine : des jeux de lumière soutenus par un accompagnement musical nous font découvrir une multitude de cristallisations.
En soirée le responsable de LASCAUT-2 nous présente une conférence très intéressante sur les différents aspects de la vie préhistorique.
Mercredi 06/09,
Jour de repos d'HIPPOLYTE, notre chauffeur. Matinée libre, nous vaquons à nos occupations personnelles. L'après-midi une balade pédestre nous réunit tous afin de découvrir le village de SINGLEYRAC, notamment son église à deux nefs et son clocher. Après une promenade dans les vignes, nous rentrons au centre où un concours de pétanque est organisé. Une dégustation de produits régionaux nous est ensuite proposée par un producteur local.
Après le dîner, la bataille musicale voit s'opposer deux groupes de Brestois à deux groupes de Morbihannais. Après une prestation très appréciée de Dalida par Edith, tentative désespérée pour emporter la victoire celle-ci revient finalement à Francis.
Jeudi 07/09,
Destination BERGERAC après avoir déposé les randonneurs. Une très courte visite nous a donné un aperçu de la ville : deux placettes où trônaient des statues de Cyrano de Bergerac.
Nous empruntons de charmantes petites ruelles pour atteindre le port à 11h, où nous attendent les gabares pour une croisière de près d'une heure. Dans une ambiance de verdure les hérons cendrés prennent la pose pour notre plus grand bonheur.
Après un rapide déjeuner au village, nous partons pour le moulin de ROUZIGUE dédié à la fabrication du papier. La conférencière nous entraîne dans ce monde. Les moulins apparaissent au 12ème siècle pour la fabrication des manuscrits. Vingt-quatre moulins étaient installés en Dordogne dont treize dans ce village proche des voies navigables. La rivière, "La COUZE", fournit l'eau au Ph neutre pour la fabrication de la pâte à papier et l'énergie pour faire tourner le moulin. Les autres ingrédients sont des chiffons de lin et de chanvre, et à partir du 17ème-18ème siècle du coton, et enfin du bois. Pour solidifier le papier, de la colle à base de peau de lapin y était intégrée. Au moulin, les chiffonniers récupèrent les chiffons et les peaux de lapins, puis les trient et les coupent en petits morceaux, les pétassous. Ceux-ci vont au pourrissage pour ramollir la fibre puis ils sont écrasés avec de l'eau, défilés, défibrés et raffinés. La colle est ensuite ajoutée. La pile hollandaise arrive fin du 18ème siècle et simplifie le processus. Fin du 19ème siècle le virage industriel s'amorce et révolutionne la fabrication du papier. Les composants changent : la pâte à bois et les colles chimiques apparaissent.
La journée s'achevant, les Morbihannais faisant preuve d'une belle vitalité, sans aucune fatigue dans les jambes après une semaine de randonnée, animent la soirée danse.
Vendredi 08/09,
Réveil très matinal, et c'est le retour vers le Morbihan.
Pour les photos : Christiane et Francis
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- Écrit par : MOREAU Christiane
PORNICHET : Séjour ANCV
17 au 24 juin 2017
Nota : toutes les photos sont cliquables
Samedi 17 juin, l’hôtel Fleur de Thé à Pornichet nous accueille pour le séjour ANCV. Après l’installation de chacun, un pot d’accueil nous réunit en soirée afin de nous présenter le programme des activités et faire connaissance avec Johanne, notre accompagnatrice. Le documentaire sur le Queen Mary, un peu plus tard, nous fait déjà rêver.
Le dimanche 18 au matin, la promenade en petit train touristique nous emmène à la découverte du superbe panorama de La Baule, une plage de sable fin longue de 12 km, bordée de constructions avec différents types d’architecture. La baie de La Baule fait partie du club des plus belles baies du monde. L’après-midi, Johanne notre guide, nous présente l’hippodrome de Pornichet. Quelques dates : 1866 les premières courses sont organisées sur la plage. 1888 les courses sont pérennisées sous la direction du Casino. 1906 voit la création de la Société des Courses. 1946 deux constructions en dur sont érigées. 1960-1964 les tribunes sont construites et les pistes sont rénovées. 2011 l’hippodrome est reconstruit à neuf. Aujourd’hui, sur un anneau de vitesse de 1250m, il accueille 24 réunions de courses à l’année dont 17 prémiums et une course de dromadaires.
Et c’est la soirée jeu « Brise-Glace » afin de faire connaissance avec l’autre groupe en séjour à l’hôtel.
Le lundi 19 juin, la journée débute par une balade en chaland sur les canaux dans La Brière, à la découverte de ce milieu aquatique : les oiseaux, la tourbe, les roseaux et les iris. Puis la visite se poursuit par le petit village musée de Kerhinet et ses ravissantes chaumières.
L’après-midi direction Guérande en passant par les marais salants. Les plans d’eau dont l’unité de mesure est l’œillet, sont alimentés par un réseau d’étiers et de vasières. Tous les éléments sont réunis pour faire le sel : l’argile, le soleil, l’eau de mer et le vent. Le sel de Guérande, grâce au travail de ses paludiers, est reconnu pour ses qualités exceptionnelles. Et voici Guérande et ses vieilles rues qui nous offrent un peu d’ombre pour continuer la visite. Nous découvrons l’église avec ses deux parties romane et gothique et sa curiosité : une chaire extérieure pour les personnes non recevables par l’Eglise.
La journée se termine par une soirée de contes et légendes.
Le mardi 20 juin, l’Océarium du Croisic nous offre une plongée au cœur de l’océan avec la diversité des poissons que nous voyons évoluer. Nous commençons la visite par un grand bain où nagent les requins et les raies mantas. Puis nous avons rendez-vous avec les manchots à l’heure de leur repas. Un goéland visiblement habitué des lieux, s’invite à la distribution. La visite se poursuit par un tunnel entièrement transparent, une vue exceptionnelle sur le monde du silence.
L’après-midi nous restons dans le monde maritime par la visite des Chantiers de l’Atlantique. Ils s’étendent sur 110 hectares. 7000 personnes y travaillent dont 400 ingénieurs. Le principal matériau de construction est l’acier qui vient d’Espagne sous la forme de tôles de 10 à 15 mètres de long. Les différentes étapes sont le découpage, la soudure manuelle et par robots, l’assemblage et l’aménagement. Le SYMPHONY OF THE SEAS, en cours de construction, mesure 362m de long, 47m de large, 72m de haut. Il pourra accueillir 6300 passagers, 2300 membres d’équipage sur 21 ponts. Les six moteurs à propulsion diésel électrique de 130 000 chevaux lui donneront une vitesse de 22 à 23 nœuds avec 10m de tirant d’eau.
Aujourd’hui Les Chantiers de l’Atlantique diversifient leur activité en construisant des sous-stations électriques pour les champs d’éoliennes. Le chantier fonctionne 24h sur 24h toute l’année.
La soirée Karaoké termine la journée.
Le mercredi 21 juin, une journée détente avec le marché de Pornichet. Ce marché réputé pour la qualité de ses produits est un vrai plaisir pour les yeux. Les connaisseurs ont particulièrement apprécié la halle aux poissons.
L’après-midi toujours sous le soleil c’est une promenade tranquille vers Sainte-Marguerite. La balade débute par la visite de la chapelle Sainte-Anne. Une particularité : sa cloche se situe devant l’édifice et non sur le clocher. Un sentier des douaniers très bien aménagé bordé de jardins fleuris nous fait longer le littoral. Il faut saluer la résistance et le courage des participants qui ont affronté les 7 km par cette grosse chaleur. Une glace à l’arrivée récompense les plus gourmands.
La fête de la musique clôture cette journée détente.
Le jeudi 22 juin, une partie de pêche à pied nous attend. Armés de seaux et de divers ustensiles, nous prenons la direction de la plage. Johanne nous fait découvrir les curiosités des crabes : reconnaître un crabe mâle ou femelle, un gaucher et un droitier. Nous faisons connaissance avec le crabe enragé d’un beau rouge orange. Nous assistons aussi à une mue de carapace. Nous sacrifions deux petits poissons afin de nourrir une anémone de mer. Une particularité des étoiles de mer : elles retombent toujours sur leurs branches lorsqu’elles se retournent. Ensuite voici les bigorneaux : nous apprenons qu’il vaut mieux manger les bigorneaux non nacrés plus comestibles. Par contre le chiton n’était pas au rendez-vous ce matin.
L’après-midi les villas de Pornichet : un voyage entre les différents styles, l’orientale, l’italienne Rosa et les françaises : La Roseraie classique, la Basque, La Vendéenne.
Nous terminons ce tour d’horizon par la visite de Notre-Dame Des Dunes édifiée sur un terrain sablonneux.
La soirée dansante clôture cette journée.
Le vendredi 23 juin, nous partons à la découverte de Noirmoutier, l’île des mimosas. Nous y arrivons par le Gois long de 4 km500, qui était l’unique accès à l’île jusqu’à l’ouverture à la circulation du pont, en 1971. Cette île, longue de 19 km sur 7 km de large, est bordée de 40 km de plages. Le point culminant est de 8 m pour 4 m en moyenne. L’été sa population passe de 10 000 à 100 000 habitants.
Un petit train nous emmène à la découverte des ruelles pittoresques, les maisons blanches aux toits de tuiles, les volets bleus pour les marins, verts pour les sauniers, gris pour les paysans, les petits murets et les fleurs.
Après un repas de spécialités accompagnées de pomme de terre Bonnotte, nous prenons le chemin du retour en passant par Pornic. Une petite cité autour de son château bâti par Gilles de Retz, son port de plaisance, la corniche bordée de belles villas datant des années 1920.
Notre journée se termine par la soirée Kenavo : des jeux et beaucoup de rires pour clôturer ce séjour ensoleillé.
Monsieur Raguenes, un habitué des séjours ANCV, nous livre ses impressions sur cette semaine.
Les huit adhérents de l’ANR 29 ont apprécié ce séjour. Les visites, balades, découvertes avec ses points forts : la balade en chaland dans la Brière, l’Océarium du Croisic, les Chantiers de l’Atlantique, Guérande et les marais salants, Noirmoutier en petit train, les soirées très diversifiées, la compétence des guides, la gentillesse du personnel. En conclusion une belle organisation pour ce séjour. Un seul petit bémol, pour l’hôtel très calme, le service en self qui a généré quelques encombrements dû au manque d’espace. Des bonnes surprises : la dégustation d’huîtres et les repas régionaux. De plus le beau temps, cerise sur le gâteau, nous a suivis toute la semaine, même un peu chaud en début de séjour.
Madame Eveno de l’ANR 22 découvre le voyage ANCV et nous fait part de ses impressions.
Je suis très satisfaite de ma semaine :un séjour agréable, la convivialité entre tous, la bonne organisation. J’ai particulièrement apprécié la feuille de route, la disponibilité et la réactivité de la responsable du groupe.
Contribution photos : Jacques et Daniel.
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- Écrit par : LOPEZ Francis
Il était une fois St Cast Le Guildo… Côtes d’Armor.
Si le séjour de clôture de l’année passée avait laissé quelques souvenirs particuliers quant à la qualité de l’hébergement et de la restauration (Ile Grande), celui de la baie de St Cast a offert aux participants de cette année un goût de miel.
L’Hôtel des bains a donc accueilli 30 de nos adhérents dans un cadre de confort et de convivialité assez exceptionnel. Rando libre le vendredi en « anté-méridienne » histoire de se dégourdir les jambes, pique nique dans le parc privatif de l’hôtel. Reprise pour une "sept lieues" dès le début d‘après-midi : on se fie aux plans au risque de se perdre, pour retomber sur nos pieds (normal) jusqu’au centre équestre, en passant par le moulin d’Anne, puis retrouver la baie où douche et apéritif d’accueil nous attendaient. Nuit de repos bien méritée pour repartir dès le lendemain avec un guide qui n’est autre que le directeur, le patron s’appelle Bruno. Retour à la table du restaurant ce qui n’était pas prévu, le temps s’annonçant médiocre. Point de pluie, cette équipe est vernie en cette après-midi, l’une des merveilles du secteur nous était proposée : passer à marée basse l’archipel des Ebihens. Un sentiment d’être pris en otage par les flots, ce qui ne fut pas le cas, notre expert connaissait trop bien son affaire. Même programme que la veille avant le dîner et une soirée de danse bretonne par un groupe local fort sympathique, à l’âge canonique. En amont la gente féminine de notre groupe avait repéré les boutiques, saison des soldes oblige. Au petit matin du samedi le soleil est revenu, un dernier effort à la pointe du Bay pour justifier de pratiquer une randonnée qui est le loisir du groupe. Ensuite un déjeuner de qualité et un départ pour découvrir ou redécouvrir ce fort La Latte à quelques encablures, décor de cinéma où le film « les Vikings » avec Kirk Douglas, fut tourné en 1958.
Un jour, un parking, nos amis se quittent, retour vers le Morbihan à deux heures de route. Il ne reste plus qu’à cogiter pour trouver le lieu pour la saison prochaine.
Du baume au cœur pour Marie-Thé, le plaisir de voir des amis satisfaits. Si la formule est plate c’est aussi le but de son investissement.
Photos : Edith et Jean Yves Barrau - Francis Lopez
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- Écrit par : Super Utilisateur
Le séjour ANCV - 2017 se déroulera au PORNICHET
du 17 au 24 Juin 2017
Hébergement à l'hôtel "Fleur de Thé"
Infos agenda / situation : ICI
SÉJOUR À PORNICHET AVEC ANCV - 8 JOURS
DU 17 AU 24 JUIN 2017
OUVERT A TOUS
(AVEC OU SANS CHEQUES VACANCES)
Hôtel "FLEUR DE THE"** 8 Avenue Henri Sellier 44380 Pornichet
1er jour: Votre région – Pornichet. Arrivée en fin d'après-midi, installation dans les chambres, cocktail de bienvenue. 2eme jour: Balade Pédestre – La côte sauvage. «Les Villas». Balade pédestre découverte et historique des villas et de la ville de Pornichet. Déjeuner à l'hôtel. Vous goûterez aux joies de la pêche à pied. A marée basse, vous chercherez et ramasserez les crustacés et autres coquillages. Un moment de partage et de découverte. 3eme jour: La Brière et Guérande. Balade en chaland dans le vaste marécage de 23000 hectares entrecoupés de nombreux canaux et visite de Khérinet petit village typique de chaumières…Déjeuner à l'hôtel. Découverte de la cité médiévale de Guérande et retour par les Marais Salants ! 4eme jour : Journée à Noirmoutier Une île authentique et préservée, une île aux volets bleus et aux maisons blanches, où quatre villages, aux personnalités différentes, offrent un contraste saisissant entre les grands espaces naturels, la mosaïque des marais salants, les champs griffés de la plaine agricole, les ports colorés et l'architecture mi rurale, mi balnéaire. Déjeuner au restaurant Découverte de l’île en petit train circuit d’une heure vers les villages anciens. |
5eme jour: Détente Le petit train de la Baule. Matinée Libre pour la découverte du marché de Pornichet. Déjeuner à l'hôtel. «Le Petit Train». Circuit complet du front de mer afin de découvrir les 8 kms de plage de la Baie de Pornichet/ La Baule. 6eme jour : La côte sauvage et St Nazaire Départ pour la côte sauvage de La Baule au Croisic. La baie de La Baule, le Pouliguen,… La côte sauvage de Batz sur Mer, la chapelle des Mûriers et l’Église Saint Guénolé et ses criques chargées d’histoires et de légendes. Visite guidée de l’Océarium. Déjeuner à l'hôtel. Visite des chantiers de l’Atlantique, vous découvrez les secrets de fabrication de ces géants des mers en circulant au cœur des chantiers. Une visite inoubliable. Au retour, découverte commentée de la ville de Saint Nazaire. 7eme jour: Journée à Pornichet. «Quartier Ste Marguerite». Balade pédestre découverte du quartier de Ste Marguerite & sa plage où à la fin du 19e siècle, ce quartier accueillait les premiers villégiateurs qui découvraient les bienfaits des bains de mer dans l’océan Atlantique. Dégustation des huîtres à l’hôtel. Découverte de l'histoire du champ de course de Pornichet. Résolument moderne et flambant neuf. 8eme jour: Pornichet – Votre région. Départ après le petit-déjeuner. Retour vers votre région. Panier repas prévu pour le déjeuner sur la route. Repas compris ainsi que les quatre Soirées animées |
- Le tarif de 409 € comprend: (Subvention ANCV de 185€ à déduire pour les ayants-droit (T.R.))
♦ L'hébergement en chambre double avec sanitaire (lits faits à l'arrivée, linge de toilette fourni),
♦ La pension complète (boisson à table – vin à discrétion & eau – et café au déjeuner inclus), du dîner du 1er jour au
petit-déjeuner du jour de votre départ (panier repas inclus pour le déjeuner du retour)
♦ Les prestations prévues au programme (droits d'entrées, visites …) avec assurance annulation
♦ Le guidage ou l'accompagnement des excursions prévues (sauf mention contraire),
♦ Les repas à l'extérieur prévus au programme (boissons incluses),
♦ Les transports jours 3 et 6 sont compris si le nombre de participants est de 51 minimum
♦ Assurance annulation incluse: Tarifs et conditions sur demande
- En supplément:
♦ Le supplément chambre individuelle: 77€ par personne dans la mesure des places disponibles
♦ La taxe de séjour : 0.80€ par nuit/pers applicable à l’année (Tarif 2016 indicatif)
♦ Les transports aller/retour de votre domicile sont à votre charge
♦ Les dépenses et extras d’ordre personnel.
♣ Les versements
♦ Acompte 1 de 128 € Tarif normal et de 73 € tarif réduit, il sera encaissé à l’inscription
♦ Acompte 2 de 120 € (T.N.) et de 65 € (T.R.), il sera encaissé en février 2017
♦ Le solde de 161 € (T.N.) et 86 € (T.R.), il sera encaissé le 10 mai 2017
♦ (Les 3 versements sont pris à l’inscription) et encaissés aux dates indiquées.
Les chèques vacances sont acceptés. Tous les chèques seront libellés à l’ordre de VTF.
Demander le dossier d’inscription à Christiane Moreau - (Faites le sans tarder, le nombre de place est limité).
VTF L'ESPRIT VACANCES – Service Forfaitistes – 1460 Route de Galice – 13097 AIX EN PROVENCE CEDEX 02
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- Écrit par : Super Utilisateur
Séjour à Hendaye 2016
Le séjour à Hendaye organisé en 2016, est intervenu avant l'existence de ce site web. Aucun document n'a été reçu pour intégration dans son contenu, ni texte, ni photos.
Aujourd'hui j'ai pu récupérer avec retard, un document précieux sur ce voyage (merci Maryannick et Martine).
J'ai donc le plaisir de publier sur notre site un article qui saura réveiller les souvenirs des participants à ce séjour, mais aussi qui viendra compléter les connaissances des uns et des autres sur ce joli Pays Basque.
Il s'agit de l'intégralité du texte écrit par Noëmi CANO-LORGEOUX , que vous pouvez découvrir en cliquant sur ce lien.
Bonne lecture.
Je peux assurer Noëmi que mes remerciements sont à la hauteur de la qualité et de la richesse de son travail !
Daniel - Webmaster.
Nota : Ce texte est suivi des articles de Christiane Moreau et de Francis Lopez parus dans la revue N° 54 de "L'écho du Morbihan", au sujet de ce séjour.
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